Fini de rire...
D'habitude à l'heure de la 2° partie de l'émission de Michel Drucker, c'est le blues du dimanche soir. Mais là c'est double cafard car c'est aussi la fin des vacances. Je me demande déjà comment je vais faire pour entendre le réveil, et si je l'entends, me lever.
Ce dernier week-end de vacances a aussi été bien prenant. Vendredi soir c'était soirée officieuse d'anniversaire: soirées mecs avec Guitou, Rico et Alain. Sabrina avait une soirée étudiante (mdr) et elle nous a rejoints à la maison vers 3/4h du mat (A cette heure ci ça fait longtemps qu'on est incapable de lire l'heure).
Comme d'hab, ça a été un peu du n'importe quoi. Concours de coups de fils piégés à 1h du mat puis 421 supervache avec le wok en guise de piste à dés.
Au menu évidemment, un produit du terroir...
Et en prime on a même eu une belle araignée du soir... espoir...
Hier, concert d'accordéons au Vip avec Antonio Rivas (Colombien), Raul Barboza (Argentin), et René Lacaille (Réunionnais). C'était terrible. Moment de poésie quand Raul Barboza imagine avec son accordéon comment Angel Cabral a écrit la musique de "Que nadie sepa mi sufrir", melodie qu'Edith Piaf ramène d'une tournée en Amérique du sud en 1955/56 et qui servira de thème à "La foule". Pour une fois que j'avais décidé de ne pas amener mon appareil, je m'en suis voulu.
Et enfin aujourd'hui, c'était barbecue en famille chez Papa à Pornic avec Eva qui est en vacances depuis une semaine. J'y étais passé en coup de vent jeudi, mais là ça a été l'occasion de la voir un peu plus longtemps.
Et chose extraordinaire, un Psylo géant ou alors un champignon de conte de fée (au choix) a poussé dans le jardin...